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Un pêcheur tombé dans le Viroin: fin des recherches

Un homme d’une septantaine d’années qui pêchait dans le Viroin ce jeudi est tombé dans l'eau. Ce vendredi, d'importants moyens ont été déployés pour tenter de la retrouver. 

Le pêcheur qui est tombé jeudi en fin d'après-midi dans le Viroin est toujours porté disparu. Ce vendredi, les plongeurs de la protection civile ont quitté les lieux de l'accident vers 14h30 car leurs recherches n'ont rien donné.

"Les pompiers de la zone Dinaphi et la cellule des personnes disparues poursuivent désormais du côté francais au niveau d’un barrage", a expliqué notre journaliste Justine Roldan Perez. L’objectif était de lâcher de l’eau pour effectuer un mouvement et voir si le corps apparaissait. "Pour cela, des pompiers français sont présents en renfort. Ils restent sur les berges et sont prêts à se jeter à l’eau si un corps arrive. Ils ont tendu une corde pour sécuriser les lieux", a-t-elle précisé.

Toutes les recherches menées ce vendredi ont finalement pris fin vers 17h40. 

Il a perdu l’équilibre et est tombé à l’eau

Cet homme qui pêchait dans le Viroin, à hauteur du pont de Treignes (Viroinval), a chuté dans le cours d'eau jeudi en fin d'après-midi. Il s’agit d’un homme d’une septantaine d’années. Il était accompagné de deux amis pêcheurs. "Il a perdu l’équilibre et est tombé à l’eau, et le courant l’a emporté. Il ne savait pas nager", affirme sa famille.

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D'importants moyens ont rapidement été déployés pour tenter de le retrouver hier, à savoir une équipe de nageurs/sauveteurs en eaux vives, une équipe de plongeurs subaquatiques et des pompiers munis d'une caméra thermique. Une équipe de pompiers français est également venue leur prêter main-forte. Jeudi, en fin de journée, le disparu n'avait pas encore été retrouvé. 

Les recherches ont donc repris ce vendredi, avec toujours d'importants moyens déployés: la cellule des personnes disparues de la police fédérale, la protection civile et la police de la navigation.

Sur place, notre journaliste expliquait ce vendredi matin que de longues heures ont été nécessaire pour analyser la configuration des lieux. "Dans ce type de cours d'eau, c'est beaucoup plus problématique parce qu'il y a pas mal de pierres qui jonchent le sol du cours d'eau, pas mal de branches, il y a des tourbillons, et également pas mal de trous... Donc, coupler au courant, ça forme une difficulté supplémentaire par rapport à d'autres types de cours d'eau qu'on a l'habitude de sonder comme la Meuse ou ce genre de chose", développait Thibault Greffe, membre de la cellule des personnes disparue de la police fédérale. La sécurité des équipes est donc primoridale. 

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Commentaires

1 commentaire

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  • comment on sait qu'il est tombé dans l'eau ?????

    Ray G
     Répondre