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STUPEUR dans le dossier des homejackings violents: le chef d'enquête entretenait une relation amoureuse avec la petite amie de Marwan, un suspect

RTL INFO est en mesure de révéler un incroyable rebondissement dans le dossier d'ampleur concernant une série de homejackings violents et dans lequel le nom de l’animateur Stéphane Pauwels est cité. Le chef d’enquête a été perquisitionné et brièvement privé de sa liberté ! L’homme a de plus été écarté.

La juge d’instruction Michel est saisie de l'enquête à charge du policier qui est désormais poursuivi pour violation du secret de l’instruction.

Voici les faits: Il apparaît d’après des éléments précis et à charge que le chef d’enquête, Ludovic N., entretient depuis plus d’un an une relation amoureuse secrète avec la petite amie d’un des principaux suspects: Marwan H. Il s’agit d’un nom bien connu du grand banditisme. Il est actuellement emprisonné pour d'autres faits et inculpé dans le dossier dit "Pauwels".

Les éléments sont sans équivoques : selfies du couple dans le bureau de l’enquêteur (avec ou sans filtre Snapchat), photos ou encore conversations par messages...

L’homme discutait également via GSM avec Marwan H. alors que ce denier est en détention et qu’il détenait illégalement un téléphone en cellule.

Plus grave encore, il aurait également prévenu sa «petite amie » d’une perquisition à venir et promis à Marwan H. une libération sous bracelet (qu’il a obtenu!).

D’après les pièces retrouvées, lors d’une commission rogatoire en Espagne (en vue d’une arrestation dans l’affaire), il a transmis des photos et vidéos de l’intervention à la jeune femme violant de cette manière les secrets de l’enquête.

L’existence de ces agissements a été évoquée ce matin devant la Chambre du conseil par plusieurs avocats qui sont montés au créneau en affirmant que l’intégrité de l’ensemble de l’enquête est fortement compromise.

C’est en effet un coup de tonnerre incroyable dans un dossier très médiatique suite à la présence d’une personnalité mais également très lourd au vu du nombre et de la gravité des faits.
Vu la situation les avocats ont demandé la libération de leurs clients.

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