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Pour François Hardy, qui s'est confiée à Télérama, la mort de Johnny Hallyday a été vécue comme "un déchirement".
"Lui, Jacques et moi avons passé toute notre jeunesse à quelques mètres les uns des autres", révèle-t-elle. Elle se rend compte que cette disparition est "le début de la fin" : elle voit "une génération en train de partir. Et j'en fais partie", ajoute-t-elle.
La chanteuse de 74 ans déplore que Johnny ait laissé ses ainés de côté de cette façon dans son héritage. "Même si on peut admettre que Johnny ait voulu laisser davantage à ses plus jeunes enfants, il aurait dû parler aux aînés. La révélation abrupte d'un tel testament, c'est froid, c'est sec. Comme un reniement. Très douloureux", a-t-elle affirmé à Télérama.