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Alors que le père de Meghan Markle avait, de nouveau, accepté d'évoquer sa fille et sa santé dans une interview dans l'émission Good Morning, accordée fin juin avec ITV, selon le Daily Mail, il semblerait que tout contact serait désormais bel et bien rompu entre Meghan Markle et son père.
En effet, selon Thomas Markle, le dernier contact qu'il aurait eu avec sa fille remonte au lendemain du mariage royal célébré le 19 mai. Depuis, du côté de Meghan, c'est silence radio. La jeune mariée qui mettait un point d'honneur à évoquer sur les réseaux sociaux son père lors des précédentes fêtes des pères, n'aurait même pas daigné lui envoyer une carte cette année, ou passer un petit coup de fil. Elle n'aurait également pas pris des nouvelles de sa santé alors que l'homme a été opéré du coeur deux jours avant les fameuses noces du château de Windsor.
Thomas Markle aurait confié à ses amis: "Meghan et Harry m'ont rayé de leur vie". Et Piers Morgan, éditorialiste pour le Daily Mail de se pencher sur la question dans un éditorial cinglant, publié hier.
"Meghan a disparu de la vie de son père, comme elle l'a fait avec tant d'amis, son ex mari, un nombre incroyable de connaissances, ainsi que des membres de sa famille, en les renvoyant d'un coup à une relation glaciale, équivalente à la Sibérie."
Et de poursuivre: "Meghan Markle se décrit depuis qu'elle a été propulsée sous les feux des projecteurs comme quelqu'un d'humanitaire et de philantrope, en oubliant visiblement le vieil adage: la charité commence à la maison."
Et de rappeler que la "bonne cause" pour laquelle William et Harry, ainsi que leurs épouses ont décidé d'être les ambassadeurs concerne les personnes atteintes à un moment de leur vie, par une maladie mentale. "Thomas Markle est un homme qui visiblement, ne va pas bien", reconnait Piers Morgan.
"Il a souffert de problèmes cardiaques liés peut-être au stress et à l'attention médiatique auquel il a dû faire face du jour au lendemain". Certes, Meghan a un été très occupé en embrassant son rôle de duchesse de Sussex, (..) Mais il est peut-être temps de déposer sa couronne et de se rappeler d'où on vient", estime le journaliste britannique.
